Les changements des propriétés mécaniques de diaphyses fémorales, pendant la grossesse et la lactation, sont étudiées. Les rats vierges supportent des charges plus élevées que les rats après copulation ou en cours de lactation et présentent des modules d'élasticité et de rupture plus élevés. Les forces nécessaires pour provoquer la fracture des os ne varient, cependant, pas significativement entre les trois classes. Les rattes, en cours de lactation, présentent un module de rupture significativement moins élevé que les rattes après copulation, mais elles ne présentent pas, par ailleurs, des propriétés mécaniques très différentes.
L'architecture osseuse, la fréquence de l'érosion, et le contenu en cendres sont étudiés. Certaines des modifications mécaniques semblent liées à un amincissement de la paroi diaphysaire des rattes en lactation. Plus de 35% des différences dans le profil de rupture et plus de 20% des variations du module d'élasticité peuvent s'expliquer par des différences de contenu en cendres. Les rats semblent perdre du tissu par l'extrémité de la piéce osseuse. L'usure de la diaphyse se fait par la surface de l'endoste ce qui, mécaniquement, est la meilleure solution.
Es wurden Veränderungen in den mechanischen Eigenschaften von Rattenfemora-Diaphysen während der Schwangerschaft und der Laktation studiert. Die Knochen von Jungtieren ertrugen schwerere Belastungen als diejenigen von tragenden oder säugenden Ratten und hatten einen höheren Elastizitätskoeffizienten und eine höhere Bruchfestigkeit. Die Arbeitsleistung, die nötig war, um die Knochen zu brechen, zeigte jedoch in den drei Klassen keine signifikanten Unterschiede. Die Knochen von säugenden Ratten hatten eine signifikant niedrigere Bruchfestigkeit als diejenigen der tragenden Tiere, unterschieden sich aber nicht wesentlich in ihren mechanischen Eigenschaften.
Der Knochenbau, das Ausmaß der Erosionsaktivität und der Aschegehalt wurden studiert. Einige Veränderungen in den mechanischen Eigenschaften konnten einem Dünnerwerden der Schaftwand in säugenden Tieren zugeschrieben werden. Mehr als 35% der Variation in der Bruchfestigkeit und mehr als 20% der Variation im Elastizitätskoeffizienten konnten mit der Variation im Aschegehalt erklärt werden. Die Ratten scheinen am meisten Knochensubstanz an den Knochenenden zu verlieren. Der aus dem Schaft verlorene Knochen wird an der Endostoberfläche verloren. Mechanisch gesehen ist dies die beste Strategie.